vendredi 16 décembre 2011

TELETHON, résultats

Edition 2011,

Dernières nouvelles :

La Marche de l'Espoir est une randonnée pédestre organisée chaque année le premier dimanche de décembre dans le cadre des manifestations nationales du Téléthon.

Le dimanche 4 décembre, nous avons donc pris le départ à 8h15 au stade Géo André à Boulogne pour une distance de 32 km en marche nordique. En dépit du temps maussade, puisque nous avons bravé le vent et le crachin, nous avons partagé de façon conviviale un parcours tracé dans l’ouest francilien et redécouvert parcs et forêts au hasard des sentiers de l’Île de France.

Solidarité, convivialité, motivation et bonne humeur ont été partagées par la plupart des 1 121 inscrits à cette 10e édition de notre Marche de l’Espoir (soit 28 % de plus qu’en 2010).

15 690 € (soit 26 % de plus que l’an dernier) sont venus s’ajouter à la collecte versée au Téléthon.




Merci à l'équipe de marche nordique du RIF pour sa participation.


Un très grand merci à tous les bénévoles de cette Marche de l'Espoir qui ont assuré la sécurité tout au long du parcours et nous ont chaleureusement encouragés. Sans oublier ceux et celles qui ont fait les succulents gâteaux qui attendaient les marcheurs à l'arrivée à la piscine de St Germain en Laye.

Annick et Michel

samedi 3 décembre 2011

Je me suis inscrite au RIF

Je me suis inscrite au RIF, il y a presque un an, pour au moins deux raisons : la diversité et le nombre de randonnées proposées, mais aussi la possibilité de m’initier à la marche nordique. Un mois après mon inscription, j’ai donc commencé mon initiation à Vincennes.

Les bâtons trainaient derrière, je m’en servais à peine, mais je me suis dis que c’était normal, je débutais. J’ai acheté mes bâtons dès le deuxième cours et à la quatrième randonnée, je décidais d’essayer la forêt de Meudon, où selon le programme, on accueillait « les débutants sportifs ».



Entre Vincennes et Chaville, ce n’est pas un pas qu’il faut franchir, mais tout un escalier. Les dénivelés font mal, mais c’est tellement un beau parcours varié qu’il faut persévérer. J’ai passé deux mois difficiles, fermant la marche du groupe, suivant parfois à distance, courte heureusement. Et ce parce que je me servais assez peu de mes bâtons. En théorie, à force de regarder mes compagnons de randonnée, d’écouter les guides et de visionner des vidéos, je comprenais ce qu’il fallait faire. Mais en pratique, je n’y arrivais pas.

Au lieu d’un, j’ai suivi trois cours d’initiation avec trois guides différents pour essayer de comprendre et d’appliquer. J’ai persévéré, comme dit souvent Annick et participé à des marches chaque week-end. Aujourd’hui, je n’ai aucune peine à suivre, le geste est meilleur, je parviens à profiter des bâtons et c’est un vrai plaisir, même si le geste n’est pas encore parfait.


Sophie