Comme tous les ans à pareille époque nous cheminions de bon matin vers le stade GEO ANDRE. A chaque fois ce nom m’évoque Géotrouvetout. Se lever si tôt un dimanche matin n’est pas notre apanage. Converge un flot de marcheurs, les marcheurs nordiques étant les plus légèrement équipés. Début des bouchons ! Heureusement un elfe léger et gracieux, j’ai nommé Corinne, tournoie dans la foule pour nous apporter notre sésame, un papier à notre nom qui ne servira à rien d’ailleurs, personne ne le réclamant tout au long du parcours !!
La traversée de Ville d’Avray nous mène aux étangs de Corot, et puis le parc du haras de Jardy arrive ensuite rapidement. Un concours hippique s’y déroule, les cavaliers sont souvent matinaux. Pause technique pour beaucoup !! La météo est parfaite, ce qui nous change de bien des éditions précédentes. Les habitués remarquent les petits changements du parcours, les organisateurs ayant tenu à se rapprocher de la distance réellement annoncée de 30 km. Il semblerait qu’on leur ait fait le reproche que le parcours d’antan dépassait les 30 km !! Certaines choses nous dépassent vraiment. Bienheureux d’être simple marcheur, le métier d’organisateur n’est vraiment pas une sinécure.
La ville est bien présente, on la sent tout autour de nous, même si le parcours nous mène par parcs et allées. La piscine olympique, toute proche du château de Saint Germain en Laye, nous accueille enfin. Quelques personnes sont arrivées, peu toutefois. Très bon accueil des bénévoles et buffet campagnard alléchant. On regrette juste le temps des gâteaux faits maison et du jus de pommes bio. C’était avant !! Chacun prend son temps.
Photo de groupe avant que chacun ne rejoigne ses pénates. En conclusion, bonne journée, super météo, groupe solidaire, vitesse moyenne à même de satisfaire le plus grand nombre et une nouvelle recrue ? en la personne de Gilette, jeune collègue de Corinne. Bravo à Bruno qui, malgré des chaussures peu adaptées au terrain un peu gras qui n’a pas trop entamé sa bonne humeur, a su puiser dans ses réserves.
A l’année prochaine,
Aucun commentaire:
Enregistrer un commentaire